Dès les années 40, en Europe, des spécialistes appelés
« Ding men » repoussaient les tôles à leur forme
originale à la suite de petits accrocs accidentels sur les véhicules
avant leur sortie des usines de montage.
Petit à petit, les secrets du DSP ont quitté les usines
d’assemblage. Des entrepreneurs de partout dans le monde se sont
intéressé à ce nouveau procédé écologique,
sans emploi de mastic ni peinture.
Pendant les années 80, le concept s’est adapté rapidement
au marché de l’après-vente automobile. Les tôles
des carrosseries sont devenues encore plus malléables, les vernis
transparents sont désormais plus flexibles et l’outillage
en DSP s’est raffiné.
L’augmentation du nombre d'autos sur les routes
et les coûts croissants des réparations traditionnelles influenceront
grandement la popularité du DSP.
À l’aube des années 2000, le débosselage
magique est devenu une industrie mondiale importante de plus en plus connue
et respectée. Ce nouveau service écologique répond
à un besoin spécifique, au grand plaisir des automobilistes.
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